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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 13:58

Relisez le chapitre 16 avant celui la, j'ai modifier la suite.

 

 

 

Léo passa une heure à tout expliquer a Sophia, celle ci était très sérieuse et assidue dans son travail,

Cela plut à Léo qui savait que ce genre de personnes se faisait rares.

 

-Monsieur excuse moi

 

-Oui mademoiselle

 

-Je ne connais pas votre nom...

 

-Oh bien sûr, excusez moi, Branche ! Léo Branche.

 

Elle esquissa un sourire en faisant glisser ses yeux sur son visage.

 

Léo demanda ensuite

 

-Everdeen sa vient d'où ?

 

-C'est écossais ! Mon père l'était !

 

- Ma grande mère était Irlandaise !

 

-C'est amusant, nos origine sont proches !

 

-en effet...

 

Il regarda à sa montre

 

-Il va être 12h00 je vais aller déjeuner, vous pouvez rester si vous voulez mais revenez pour 13h30.

 

-Bien, hum Il y a une cafeteria ici, a vrai dire je ne connais pas le coin ni personne a part vous ici ...

 

-Il y en a bien une mais je trouve ça infect !

 

Il enfila sa veste.

 

-Mettez votre manteau, je vous invite a coté 

 

La jeune femme s'exectuta avec un joli sourire et ils quittèrent le bureau de Léo.

 

Roméo était allongé sur le fauteuil en cuir quand la porte ouvrit.

Sans même regarder qui c'était il dit

 

-J'ai pas faim

 

-je voulais te présenter ma nouvelle assistante, mademoiselle Everdeen.

 

Roméo se redressa et jeta un regard curieux sur la jeune femme qui semblait gênée de la pose de Roméo.

 

-Roméo redresses toi, on ne se présente pas à une demoiselle comme ça !

 

-Dégages de mon bureau.

 

-Qu'est ce qui te prend, tu veux pas déjeuner avec nous ?!

 

-Nan dégage ! Criât-il

 

Léo baissa la tête, il la redressa

 

-Cet après midi a 14h00 dans le hall sans faute sinon on part sans toi pour l'interview

 

Il claqua ensuite la porte.

 

Roméo toujours étalé sur le fauteuil saisit son ordinateur portable sur le bureau et se mit à taper.

 

Dans leur duo professionnel Léo Organisait les rendez vous, les gérait, et récoltait les informations, Roméo lui

Rédigeait tout, il était doué pour écrire, son style d'écriture avait un impact certain sur le public ce qui valait

Sa nonchalance a un si haut poste.

 

Léo était dans un grand restaurant chic en compagnie de sophia, ils étaient face a face, la conversation semblait

Déjà bien engagée.

 

-Votre collège ne semblait pas bien tout a l'heure.

 

-C'est Roméo, c'est un connard et c'est aussi mon... meilleur ami.

 

Sophia rit

 

-Et vous avez sûrement plein de belles filles collées à vos basques !

 

-En effet...Vous devez avoir un joli prince charmant doit vous attend a la maison

 

Sophia rit de plus belle

 

-un prince charmant non !! Une princesse.

 

-Une princesse ?

 

-Je suis lesbienne.

 

Léo un peu surpris répondit

 

-Ho, désolé je ne savais pas.

 

-J'espère que cela n'altérera pas notre relation professionnel !

 

-Bien sûr que non !! Ne vous en faites pas.

 

Elle lui sourit

 

-Et vous.. Vous ...?

 

Léo se doutant clairement de la question de sa collègue rougit.

 

-Je ... ?

 

-Vous étés homo, hétéro ?

 

-Je euh, je ne sais pas vraiment...

 

-Bi ?

 

-Sûrement? Enfin, Je ne sais pas !!!

 

-L'important c'est d'être heureux ! Lâchât-elle dans un rire joyeux

 

-C'est vrai.

 

-Je pense que..

 

-Cette après midi, une interview nous attend, votre première!

 

Interloquée elle acquiesça avant d'avaler une bouchée de son plat.

 

Roméo dans son bureau tapait sur son clavier toujours dans la même position, quand le patron entra dans le bureau.

 

-Roméo ! Un petit changement de programme pour cet après midi !

 

-Euh oui, dit-il en se redressant.

 

-Au lieu de votre interview, vous vous rendrez à Marseille pour récupérer des négatifs à un directeur photo.

 

-Les recommandés c'est pas pour les chiens.

 

-C'est très important et cela vous occupera, vous ne travaillez pas beaucoup de vos journées, il n'y a aucun reproches dans

Mes propos, mais vous devez vous ennuyez

 

-Mais pas du tout ! Je...

 

-Tu tu tu.

 

-Mais de Marseille je ne serai jamais rentré ce soir...

 

-Le train de nuit ou l'hôtel ?

 

-Euuuuh...

 

 

 

Léo attendit dans le hall Roméo qui n'arriva pas, il se rendit dans son bureau pour voir si il si cachait mais il était fermé

 

Une vieille femme de menage passa et dit

 

-Il est parti chercher des négatifs à Marseille.

 

-Où ??

 

-Des négatifs.

 

-Mais où ?!!!

 

-A Marseille

 

-Pourquoi ?

 

-Des négatifs a Marseille.

 

-Ahhhh, criât-il en donnant un coup de pied dans la porte

 

-il repris ensuite l'ascenseur pour rejoindre Sophia et passer cette interview

 

Roméo dans le train contre son gré regardait le paysage défiler.

 

Il allait s'endormir quand son téléphone sonna

 

-Allo dit-il la voix endormie à l'appel inconnu

 

-Roméo espèce de connard où est ce que t'es ?!!!

 

-Dans le train, Léo je t'expli..

 

-Nan, pourquoi t'es pas à l'interview avec nous ? !!

 

-mais c'est le boss qu'a voulut que j'aille chercher deux trois trucs dans le sud parce que il dit que je fout rien.

 

-C'est vrai... tu rentres quand ?

 

-Demain dans la soirée.

 

-Tu passes la nuit la bas ?!!

 

-Oui, je préfère.

 

-Ah bon...

 

-Désolé de pas t'avoir prévenu.

 

-Je m'en fout un peut enfait, je ...

 

-Genre !!

 

-Attend attend !

 

Roméo entendit des bruits de fond avec la voix de Léo qui criait sur le photographe.

 

-Excuse moi

 

-Oui ?

 

-Tu vas me manquer, tu me manques déjà bébé...

 

-Tiens c'est vrai ?!!

 

-Oui Oui, dit Léo tout gentiment

 

-tu veux faire un truc pour moi mon beau ?

 

-Ouii ?

 

-Oubli pas ton frère au bureau.

 

-Meeerde...

 

-Quoi je préviens trop tard ?

 

-il devait revenir vers midi et demi, je suis parti déjeuner avant, et il n’a pas son portable avec lui.

 

-Et voila et voila...

 

-Désolé mon amour je vais te laisser je vais appeler la secrétaire pour savoir si il a servecu.

 

-comment tu m'as appelé la ?

 

-Je sais plus.

 

-c'est ça ouai !

 

-J'ai envie de t'embrasser, d'être avec toi, je vais essayer de trouver un train la j'ai bientôt finit j'..

 

-Noon non !! Léo je reviens demain

 

-Mais même ...

 

-Léo... si tu préfères je prend le train de nuit ... mais sa me saoul j'ai peur dans les couchettes.

 

-Tanpis tu reviens cette nuit.

 

-Mais Léo !

 

-...

 

-Bon Ok !

 

-Mais c'est parce que tu me manques...

 

- Une nuit ce n’est pas la fin du monde non plus.

 

-Oui tu as raison...

 

-Désolé mais je reviens demain dans l'après midi.

 

-Ok...

 

-Je t'appel dans la soirée ! Je vais te rapporter un cadeau si tu veux !

 

-Ouais comme tu veux...

 

-Fais pas la tête !

 

-je te laisse j'ai encore beaucoup de choses a organiser.

 

-D'accord passes une bonne journée mon ange.

 

-Ouais a plus.

 

Léo raccrocha.

 

Roméo dans le train, culpabilisa mais ça ne serait qu'une nuit de toute façon,

Pas de raison de paniquer mais il connaissait Léo et tout s’arrangerai a son retour.

Il arriva à Marseille dans la fin d’après midi, il faisait chaud et Roméo était content de ce nouveau paysage méditerranéen. Il pris un taxi pour aller a l’entreprise ou il devait aller récupérer les négatifs tant convoités et apparemment si précieux au yeux du patron.

 

Il arriva a destination et pénétra dans le bâtiment.

 

Il demanda à l’accueil, un homme qui devait lui remettre le gage, la jeune femme le fit patienter sur des sièges devant elle.

Il patienta une dizaine de minutes en lisant quelques magazines de mode ou il retrouva un article de lui dans l’un d’eux.

Un homme vint interrompre sa lecture en l’interpellant d’une porte au bout d’un couloir auquel il faisait face.

 

 Roméo se leva et pénétra dans la pièce décorée de l’homme qui se présenta au nom de Mr Harris.

Il lui remit un petit paquet  Jaune qui contenait apparemment les négatifs, il lui confia qu’ils étaient très précieux et à remettre en mains propres a son patron.

Roméo sorti léger de la firme de photographie, il pouvait peut être prendre un train et rentrer dans la soirée mais il préféra visiter la ville.

Il se mis d’abord à la recherche d’un hôtel potentiel et s’installa dans une chambre confortable.

Il sorti ensuite pour faire un tour des environs.

Quelques heures passèrent, il était rentré à l’hôtel quelques sacs remplis d’achats qu’il avait effectué.

Il était aux alentours de 22h00 quand son téléphone sonna, il était dans son bain.

 

-Allo ?

 

-Roméo !

 

-Ah Léo ça va ?

 

-Journée stressante.

 

-L’interview s’est bien déroulée ?

 

-Oui… Le photographe un peu empoté mais mon assistante a bien su gérer.

 

-Et Enzo.

 

-Il a bien commencé il va revenir. Je pense que c’est surtout pour la secrétaire mais bon il a une motivation.

 

-Ok …

 

-Et toi t’as récupéré ces foutus négatifs ?

 

-Oui en fin d’après midi, après j’ai acheté deux ou trois trucs et j’ai visité la ville.

 

-Super ! Moi je me languis de toi et toi tu fais le touriste ?

 

-Oh c’est bon on en a déjà parlé !

 

-Tu fais quoi la ?

 

-Je suis dans mon bain.

 

-ah t’es tout nu alors ! Lâcha Léo coquin.

 

-Oui…

 

-Pourquoi t’es a Marseille hein … ?

 

-Je reviens vite !

 

-Je veux oui !

 

Roméo rit

 

-Au fait … Non Enzo c’est l’autre bouton… non pas lui ! A droite !

 

-Je vais te laisser…

 

-Nan nan quitte pas ! Enzo sort de la pièce bordel !! (Voix de fond) ‘Roméo, Roméo qui es tu Roméo !!’ Enzo ta gueule sort !!!  ‘Ouais je te laisse faire des trucs cochons au téléphone ahahaha’ Dégage !!

 

-T’es sur que tu veux pas que je te laisse.

 

-Non c’es bon attend. Enzo sort les poubelles ‘La flemme’ Sort ces putains de poubelles ! *ronchonnements*

 

-C’est bon je suis a toi.

 

-Je vais te laisser mon chéri.

 

-Pourquoi ?!

 

-T’es occupé et je vais allé dormir je suis épuisé.

 

-Bon…

 

-Bonne nuit !

 

-Bonne nuit mon cœur… ‘Mon amûûûûr’ Enzo je vais te buter !

 

La ligne coupa.

 

Roméo sorti de son bain, s’allongea sur son lit et dormit comme une masse.

Par Miix - Publié dans : lips-monkey-moon
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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 13:40

.

 

 

3n ce qui concerne paris in love, j'ai deux chapitres près a l'emploi, mais y a eu un gros problême quand j'ai publié le quinzième; y a la fin qu'a été coupée et je la retrouve pas c'est embettant x), dans la journée suite, mais je trouve qu'elle craint et pense serieusement a la mettre au placard.

 

Par Miix - Publié dans : lips-monkey-moon
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Lundi 25 juin 1 25 /06 /Juin 16:13

 

 

Une dizaine de jours plutard, Gabriel s'était intégré au service et avait effectué sa première arrestation. Il commençait a endurcir son caractère sous le regard bienveillant du lieutenant.

Un vendredi soir, son équipe devait partir aux quais de seine pour vérifier l'état des lieux et procéder à quelques contrôles. Ces quais, sur la rive gauche près de Jussieu, étaient des lieux de fêtes ou se réunissaient les jeunes pour boire, faire de la musique, la fête. Mais aussi, les drogues circulaient et d'autres choses malsaines s'y produisaient.

Il partirent donc a deux voitures faire une ronde. Ils longeaient les lieux, en effet, il était minuit et demi, les gens étaient plus ou moins saouls mais rien ne rendait une vision malsaine, Gabriel regardait par la fenêtre, il aurait aimé être avec eux. Ils avaient tous l'air heureux et épanouit, lui qui n'avait jamais eu droit a ce genre de fêtes ...

 

-Quel bande de débauchés regardez moi ça ! Cracha Marc assit a coté de Gabriel, silencieux.

 

-On va faire quelques contrôles, arrête toi là. Dit Laura.

 

Le conducteur se stoppa le véhicule et l'équipe sortit.

 

Il firent quelques pas et stoppèrent un groupe de jeunes assis sur l'herbe, de la bière et des cigarettes à la main.

 

-Bonsoir, on va faire un petit contrôle, placez vous les jambes écartées et les bras a l'horizontal.

 

Les agents commencèrent leur fouille corporelle, Gabriel ailleurs regardait autour de lui, la lumière orange qui tapait sur le béton, les lumières de Paris dans le paysage, et la musique qui émanait de différents groupes d'artistes l'attirait vraiment.

Ses coéquipiers achevèrent leur contrôle, rien n’a signalé, tout était en règle.

Ils continuèrent alors a pied leur inspection des états des lieux. Gabriel les yeux dans le vague, étonnamment frustré de la place qu'il occupait, marchait sans regarder ou il allait. Il dériva par un chemin montant plein de buissons qui donnait sur un talus d'herbe, donnant une vision en hauteur des quais.

Il se posta debout près d'un groupe pour observer la vue. Dans ses pensées il ne remarqua pas qu'on lui adressait la parole.

 

-Ho ! Dit la voix d'un homme qui lui secoua la jambe pour se signaler.

 

-Hein ... Oui ?

 

-Tu me reconnais pas ? Dit Dante assit avec ses potes dans l'herbe entrain de rouler quelque chose.

 

-Ki... Dante

-Ouais, bien, alors sa roule ?

-Oui... Qu'est ce que tu roules toi ?

-T'es en ronde, ils sont où tout tes copains ?!

 

Gabriel rougit à la remarque de Dante.

Ses amis rirent et Dante tandis le joint qu'il venait de roulé a un jeune homme qui le mit dans sa poche et redescendit.

 

Il repris,

 

-Allé bouge de là, en uniforme, tu crains.

 

Face au désarmement de Gabriel, les amis de Dante se remirent à rire de plus belle, quand le talkie de Gabriel gronda.

 

-Agent K8, votre position.

 

Gabriel approcha l'appareil de sa bouche et répondit.

 

-Reçu ...

 

Il hésita à indiquer son emplacement pour ne pas créer d'ennuis à Dante, il continua

 

-J'arrive, votre position ?

 

-Reçu, donnez nous votre position.

 

-Reçu, la votre.

 

-Reçu, la votre ne discutez pas les ordres.

 

Dante fixa Gabriel d'un air perplexe, une clope au bout des doigts. Ses amis discutaient n'ayant pas entendu les messages provenant du talkie walky.

 

-Reçu...En haut du talus devant la quatrième arène...

 

Dante se leva d'un bond.

 

-Compagnons, nous bougeons.

 

-Pourquoi ? Demanda la jeune femme au pantalon rouge.

 

-Parce que, ce mec est un pourri, Dit il en l'agrippant par la ceinture non délicatement.

 

Gabriel, la mine déconfite ne fit rien pour se dégager de cette agressive étreinte.

Dante le lâcha en le poussant violemment au sol.

Ses amis dans un éclat de rire se levèrent et marchèrent en prenant le même chemin montant que celui qu'avait emprunter Gabriel.

A terre, Gabriel se dis a lui même,

 

-Quel con je fais ?! Si il était moins canon ça m'aiderais...

 

Il se releva et retourna en bas afin de retrouver son équipe qui n'arrivait toujours pas.

Il sortit du sombre chemin et les virent en pleine tentative de contrôle à Dante et à son groupe.

Il les rejoignit, hésitant.

-Gabriel, contrôle celui là. Après on remballe.

 

Il tourna la tête vers la direction que désignait le doigt de Marc, Dante, debout, le regard noir.

Il s'approcha de lui, le regard rivé au sol et lui dit,

 

 

-Place toi, je suppose que tu connais la position...

Sans un mot il s'y mit.

 

Gabriel hésitant commença sa fouille, il parcourut ses formes supérieures.

Il arriva aux poches ou il enfouit sa main, il en sortit a moitié un morceau de barrette de beu et un petit sachet transparent, remplis de poudre blanche...

Accroupit, il leva la tête vers Dante qui le fixait aussi, cette fois son regard n'était pas mauvais, il y aperçu une sorte de gène, d'angoisse.

Sans un mot il replaça le sachet dans la poche et continua, il passa rapidement mais non sans gène a l'entre jambe et se redressa.

Après un survolage de ses papiers il le lui rendit, toujours le visage aussi doux.

 

-R.A.S. sur celui là ! Annonça t'il a ses collègues.

 

 

Dante, perplexe, se gratta la nuque, l'équipe quitta donc le groupe. En passant près de lui, Gabriel lui chuchota

 

 

-Plus loin vers le pont, y à une équipe avec des chiens qui arrivent.

 

 

Il le quitta la et rejoignit sa troupe pour rentrer au commissariat.

Quant a Dante, il revendu en 20 minutes ce qui lui restait et rentra au bout d'une heure, étonnant de lui un vendredi soir.

 

 

 

 

 

 

Par Miix - Publié dans : lips-monkey-moon
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Jeudi 14 juin 4 14 /06 /Juin 22:30

Même si c'est un site 'interdit' aux moins de 18 ans, je sais qu'il y a des cokinou pervers, votez.

 

Si ça vous chante precisez votre âge en commentaire.

 

Par Miix - Publié dans : lips-monkey-moon
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Lundi 11 juin 1 11 /06 /Juin 20:05
Nouvelle fic, dites moi si le début vous plaît.

 

-Ouvrez la cellule 3 !

 

Des cris graves résonnaient du fond du couloir blanc.

 

-Lâchez moi bordel bande de connards !!

 

Deux gendarmes tenaient les bras menottés d'un jeune homme qui se débattait de toutes ses forces.
Il se fit jeter dans une cellule qui se referma avant qu'il n'ait eu le temps de se relever.

 

-Vous ne lui enlever pas ses menottes ? Demanda le policier de garde.

 

-Il est trop turbulent, faut attendre.

 

-Qu'est ce qu'il a fait ?

 

-Vandalisme, il a brisé la vitrine d'une pharmacie et le par brise d'une voiture.

 

-Eh ben ...

 

-Tu lui parle pas et tu le surveille, c'est tout, je reviens demain, pour terminer ta semaine d’insertion.

 

-Ok… Personne ne vient me remplacer ?

 

-Non.

 

Le gendarme reparti avec son coéquipier, laissant seul la jeune nouvelle recrut et le vandale dans sa cage.
Le jeune flic, Gabriel, faisait sa première semaine au poste. Il avait fait l'école de police et en était sorti premier de sa promo, même si ce n'était pas sa vocation.
Le fait est que c'était la première fois qu'il se retrouvait confronter a ce genre de situation, il était impressionné.
Il s'assit donc sur sa chaise et regarda le plafond, il n'osa pas regarder le détenu qui lui l'observait en coin, en tailleur sur le banc, les poignets menottés posés entre ses jambes.
Ce dernier avait les cheveux rouges, de petits yeux verts soulignés de noir.
Il avait un tee shirt près du corps noir sans manches et un jean large, des bretelles rouges pendant de chaque coté.
Gabriel finit par le fixer par curiosité, aussi parce que c'était la seul chose coloré de la pièce qui était elle morne et sombre.

 

-Qu'es-tu matte bouffon ?!

 

-Rien, tais toi ... et puis ne me parle pas comme ça ou alors je ...

 

-Tu ?  Haha allé ta gueule, on a la nuit a passer ensemble, et je veux pas t'entendre.

 

Gabriel ne dit rien.
Il était extrêmement impressionné par ce personnage farfelu, il baissa donc les yeux.
Une heure passa, pas un mot ne s'échangea, le silence était roi.
Gabriel regarda le rapport du détenu poser sur le bureau.

 

Il s'appelait Kim.
Il avait 21 ans
Il avait un casier loin d'être vierge mais bizarrement il n'avait écoulé aucune peine.

 

-Comment ça se fait que t'es aucun séjour au trou a ton actif ?

 

Kim qui regardait un coin de la pièce, ne répondit pas, les yeux dans le vague ignorant volontairement la question de l'officier.

 

-Je t'ai posé une question !

 

-Je t'ai demandé de la fermer !

 

-Tu veux rester la semaine ici ?

 

-Tu le ferais pas, moi même j'ai passer plus de temps dans une boite a flic que toi.
Alors c'est toi le novice ici, maintenant ta gueule.

Gabriel ne dit plus rien, il se sentait très mal, il était rabaissé par un délinquant arrogant, et malgré sa timidité quasi maladive il ne supportait pas ça.

 

-Très bien, tu garderas tes menottes toute la nuit.

 

Kim le fixa d'un regard noir. Gabriel rougit immédiatement. Le vandale alors sourit.

 

-Allé vient me les enlever. Lâcha t'il avec un sourire narquois.

 

Gabriel se leva comme s'il était obligé, et ouvrit la cellule d'un geste très doux.
Il s'avança alors vers Kim qui toujours dans la même position avait les poignets tendus vers lui.
D'un geste presque attentionné il pris ses mains et tourna la clé dans la première serrure pour en retirer la main du détenu, visiblement étonné par sa douceur.
Il retira ensuite l'autre de la même manière.
Il resta planté un moment devant lui a fixer les menottes les tournant dans tout les sens.

 

-Sa fait mal quand on les met ? demanda t-il innocemment.

 

-Pourquoi tu veux essayer ? Souffla méchamment Kim.

 

-Ben nan je te demandais, ça doit faire mal quand même... en plus il y a ...

 

Gabriel développa sa thèse sur le port douloureux des menottes, alors que Kim hallucinait, Gabriel laissait la grille de la cellule grande ouverte et discutait avec lui, il n'avait aucune autorité et était doux comme un chat.

 

Il l'interrompit alors un air interrogateur sur le visage,

 

-Pourquoi t'es flic toi ?

 

-Ben c'est mes parents qui m'ont forcé, dans ma famille tout le monde l'est quasiment, mais moi je n’aime pas trop...

 

-Ouais sa se voit...

 

-Hein ?

 

-Laisse tomber.

 

-Moi mon truc c'est...

 

-Ouais je m'en fout va te rassoire et ferme cette putain de porte avant que je ne me casse.

 

Gabriel visiblement vexé sorti de la cellule et ferma doucement la porte.
Kim trouvait Gabriel très beau, à son goût, ses cheveux noirs tombait sur son visage pâle, et son regard extrêmement doux le transperçait de part en part comme s'il se faisait lire. Puis son uniforme lui faisait une allure très sexy, avec sa taille mannequin.
Assit sur sa chaise, une heure passa, il était près de deux heures du matin.
Kim ne dormait toujours pas. Il n'avait pas changé de position depuis son incarcération.
C'est alors qu'il s'allongea sur le dos les genoux relever sur le banc, Gabriel aperçu une grosse tache de sang a l'endroit où il s'était assit.
Il décala son regard pour voir la cuisse blessée de Kim qui était relativement profonde.
Il se leva alors.

 

-Mais, tu saignes !

 

-C’est rien.

 

-Si attend.

 

Gabriel ouvrit la grande armoire derrière lui et se mit à chercher.

 

-Qu’es-ce que tu cherches bordel ?!

 

-Une trousse de secours, j’en ai vu une ici.

 

-Je te dis qu’y a rien !!

 

-J’ai pas le choix.

 

Il saisit une petite boite rouge en métal et se dirigea d’un pas rapide en direction de la cellule qu’il ouvrit d’une main.
Il s’accroupit près de Kim.

 

-Je t’ai déjà dis que j’avais rien, merde !

 

-Tu veux bien … baisser ton pantalon ? demanda Gabriel les yeux dans ceux de Kim.

 

Kim eu quelques secondes de réflexion, puis lâcha quittant le regard de Gabriel,

 

-Je vous hais, tous autant que vous êtes !

 

A ces mots il se leva pour déboutonner son pantalon, l’abaisser aux genoux et se poster face a Gabriel,  toujours accroupi devant lui.
Cette position explicite dura quelques instants avant que Kim ne montre sa blessure a l’arrière de sa cuisse, moqueur de l’apparente gène de Gabriel.
Ce dernier ouvrit la boite et pris de quoi nettoyer cette plaie.
Il posa le coton imbiber d’alcool a 90° pour le passer le long de la blessure relativement profonde.
Gabriel leva la tête et vis Kim le visage exprimant de la douleur.

 

-Tu vois qu’il fallait que je désinfecte… Comment tu t’es fait ça Kim ?

 

-M’appel pas Kim connard !

 

-…

 

Gabriel se remis à panser l’ouverture, il y mit un bandage, toujours avec cette douceur innée.

 

Le détenu le regarda, il lui tendit sa main.

 


-Appel moi Dante, comme tout le monde.

 

-Ok désolé…

 

Il serra sa main et se redressa, il lui fit un sourire resplendissant, Dante le regarda et se mis à rire.

 

-Et toi c’est quoi ton nom le flic involontaire ?

 

-Gabriel.

 

-Gabriel ? Comme l’ange ? On est fait pour s’entendre ! Lâcha Dante ironiquement en se rasseyant sur le banc en chrome après avoir reboutonné son pantalon.

 

Gabriel sorti de la cellule et la referma.
Une minute plus tard un officier vint a l’improviste prendre le relais a Gabriel. Ce dernier jeta un dernier regard a Dante toujours dans la même position, le fixant aussi, puis sorti de la section garde a vue du commissariat.

 

 


 

 

Par Miix - Publié dans : lips-monkey-moon
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